Pêche Fokus Fishing
  • Accueil
  • SURFACE
  • KAYAK Pêche
  • PÊCHE BLANCHE
  • Chroniques
  • Sorties
  • SORTIES (SUITE 2)
  • SORTIES (SUITE 3)
  • Sortie (été 2023)
  • Nos partenaires
  • Galerie de photos
  • Contactez nous
  • À propos
  • ARCHIVES 2019
  • ARCHIVES 2018
  • ARCHIVES 2017
  • ARCHIVES 2016
  • ARCHIVES 2015
  • ARCHIVES 2014
  • André Gervais au baret
  • André Gervais Lac Magog
  • André Gervais Memphré
  • André Gervais pêche folle
  • André Gervais au Vermont
  • André Gervais a la brune
  • André Gervais prospection
  • André Gervais salmo truta
  • André Gervais père & fils
  • Plus
    • Accueil
    • SURFACE
    • KAYAK Pêche
    • PÊCHE BLANCHE
    • Chroniques
    • Sorties
    • SORTIES (SUITE 2)
    • SORTIES (SUITE 3)
    • Sortie (été 2023)
    • Nos partenaires
    • Galerie de photos
    • Contactez nous
    • À propos
    • ARCHIVES 2019
    • ARCHIVES 2018
    • ARCHIVES 2017
    • ARCHIVES 2016
    • ARCHIVES 2015
    • ARCHIVES 2014
    • André Gervais au baret
    • André Gervais Lac Magog
    • André Gervais Memphré
    • André Gervais pêche folle
    • André Gervais au Vermont
    • André Gervais a la brune
    • André Gervais prospection
    • André Gervais salmo truta
    • André Gervais père & fils
Pêche Fokus Fishing
  • Accueil
  • SURFACE
  • KAYAK Pêche
  • PÊCHE BLANCHE
  • Chroniques
  • Sorties
  • SORTIES (SUITE 2)
  • SORTIES (SUITE 3)
  • Sortie (été 2023)
  • Nos partenaires
  • Galerie de photos
  • Contactez nous
  • À propos
  • ARCHIVES 2019
  • ARCHIVES 2018
  • ARCHIVES 2017
  • ARCHIVES 2016
  • ARCHIVES 2015
  • ARCHIVES 2014
  • André Gervais au baret
  • André Gervais Lac Magog
  • André Gervais Memphré
  • André Gervais pêche folle
  • André Gervais au Vermont
  • André Gervais a la brune
  • André Gervais prospection
  • André Gervais salmo truta
  • André Gervais père & fils

archives 2017

 

Belle façon d’initier les jeunes

Aujourd’hui samedi 3 juin, j’accompagne mon fils Maxime et sa petite fille Olivia qui en est a sa toute première sortie de pêche. ''Quenouille'' comme je m’amuse si bien de la surnommer n’a que trois ans. Elle voit son père et grand-père pêcher depuis toujours, hiver comme été. Cette semaine, je lui ai offert sa toute première canne à pêcher en prévision de cette sortie. Wow! Les enfants apprennent très rapidement, le bouton poussoir pour relâcher le fil et petite poignée pour ramener le tout.

Nous sommes à Dixville un petit village des Cantons de l’Est qui, comme un grand nombre de villes et villages organisent une ‘’Fête de la pêche’’. Journée qui permet a tous et toutes de pêcher partout au Québec avec ou sans permit (sauf le saumon d’atlantique). Belle activité qui a reçu près d’une centaine de personnes entre 10h00 et 14h00. Un bassin installé permettait aux enfants de prendre quelques truites sous la supervision des adultes. Ensuite, nous nous sommes rendus dans la petite rivière qui coulait tout près pour tenter notre chance de prendre une des 3 truites étiquetées. Leurs captures représentent des prix en argent entre $50 et $100. Un lunch est aussi offert pour ceux et celles qui voulaient manger sur place. Une table avec eaux courantes était à notre disposition pour l’éviscération de nos prises. Finalement rien ne manquait.

Bravo à cette organisation qui m’a permis de vivre ce beau moment avec mon fils et ma petite Quenouille. 

archives 2017

  

Prévoir le prévisible

Archives 2015 texte Luc Lafreniere

La pêche blanche est une activité agréable en autant que l’on fasse tout pour la rendre tel quel. L’image qui me vient à l’esprit est deux colonnes soit une de + et une de -.  L’idée est d’éliminer le plus possible les éléments se retrouvant dans la colonne des moins.  Ceci implique certains ajustements que l’on doit apporter au fil des jours voir des années.  Je pêche sur glace depuis plus de 25 ans et je ne cesse de modifier mes façons de faire en plus d’apporter certains correctifs à mon équipement.  Ça nous amène à prévoir certaines situations auxquelles nous faisons face et l’une d’elle demande beaucoup de patience à gérer si on ne l’a pas prévu au préalable. Je vous parle de ces fameux pompons de monofilaments ou encore d’hameçons irrécupérables avalés par le poisson. Pour mes engins de type tip up, j’ai presqu’éliminé complètement la première situation de ma colonne des moins en utilisant un fil de nylon tressé couleur Tan (plus visible dans le trou noir), cependant je suis limité sur mes interventions auprès de l’hameçon qui disparait dans la gueule du poisson.   Cette situation vous expose à  couper votre fil pour une remise à l’eau adéquate ou pour tout simplement libérer votre prise.  Vous devez alors recommencer votre montage. Ceci implique que vous devrez refaire certain nœud et ce à des températures parfois insoutenables. Comme le montage que j’utilise est relativement simple, j’anticipe cette situation en me préparant des bas de ligne de longueur standard que j’enroule autour d’un petit carton. Je les place dans un  étui à CD de plastique que je conserve dans l’une de mes poches.  La terminaison de  ma ligne principale est une agrafe (Black Rolling Swivel #9 de Mustad) que l’on peut ouvrir et fermé à volonté. Le départ de mon bas de ligne, tant qu’à lui, est muni d’un petit œillet swivel également. Bien que j’aie toujours quelques engins de rechange, il est parfois plus pratique d’avoir sous la main seulement le bas de ligne.  Je réduis donc de  beaucoup la période passée à mains nues et l’engin fonctionnel peut-être réinstallé rapidement. J’ai vécu cette situation avec mon fils récemment et nu été de mes bas de ligne de rechange pré-montés, nous aurions perdu un temps précieux alors que le poisson était en pleine activité. Quatre drapeaux s’étaient levés simultanément et deux ont fait l’objet d’un changement de bas de ligne. Rapidement, notre maximum d’engin était à nouveau au travail.

archives 2017

 

TBOX de Vexilar
Archives de la saison 2015-2016 texte de LucLafreniere
J’ai le plaisir présentement de mettre à l’essai le Sonarphone TBOX sp200 de Vexilar. Bon pour débuter, c’est un produit qui n’a pas été pensé ou conçu pour la pêche sous glace et il faut en tenir compte cependant il est possible de l’adapter sans trop de modifications coûteuses et qui donne des résultats appréciables.
Ce module relié à votre téléphone cellulaire en mode Wi-Fi ne nécessitant aucune couverture  cellulaire.  Le module  transmet les données des activités sous l’eau captée par la sonde.  Cette sonde peut être activée en en mode 20 et 40 degrés, pratique à ce niveau, mais pas nouveau. D’ailleurs pour l’ensemble de la mécanique, il s’agit d’un sonar standard à la seule différence que l’écran ait celle de votre cellulaire ou tablette et l’adaptation est plus difficile à ce niveau. Difficile étant donné que la source d’alimentation est amputée par la température très froide à près de 50%. Vexilar assure le fonctionnement jusqu’à -20 C et pour l’avoir essayé, ça fonctionne.  Par contre, sans un petit coup de main, on a tôt fait de tomber à plat.  Ce problème est vite devenu un détail suite à l’installation d’une prise allume-cigarette dans lequel on insère l’adaptateur ayant 2 entrées USB fournies dans l’ensemble initial.  J’ai relié la fiche (output) par des prises alligator à la pile 12v (non incluse) qui est nécessaire à l’alimentation du TBOX.  De cette façon, ma source d’énergie alimente mon cellulaire en même temps qu’elle alimente le sonar.  Ce problème résolu, j’ai fabriqué une flotte pour tenir ma sonde à la bonne profondeur semblable à celle fournie avec les flasher standard.  Si je calcule la pile, tous ces petits ajouts vous coûteront autour de $50-$60. L’avantage du TBOX est sans aucun doute le mariage possible avec les cartes numériques de Navionics et la possibilité d’avoir simultanément les informations en écran séparé (split-screen) .  Vous avez accès à tout cela en jetant un simple coup d’œil à votre téléphone.  Vous recevez en prime un étui en néoprène dans lequel vous insérer votre cellulaire et croyez-moi, il devient vite indispensable, nos deux mains sont toujours sollicitées et tenir un téléphone ne rendra l’expérience que très désagréable.

Pour ma part, j’ai apprécié cet outil qui à première vue pourrait nous sembler un gadget, mais je me suis surpris à porter de plus en plus attention au petit bip m’indiquant la présence de poisson sous la glace. J’ai également apprécié la fonction 20-40 degrés de couverture par la sonde, pêchant a des profondeurs variées, cela me permet d’accentué la zone de couverture qui est parfois très limitée dans les secteurs peu profonds.  Le seul bémol est le poids qu’occasionne le transport de la pile si vous vous déplacez à pied.  C’est pour ces raisons que j’ai tenté de regrouper le tout dans un sceau (5 gallons) que j’utilisais déjà. J’ai fixé le TBOX sous le siège et la pile demeure au fond de sceau dans un sac de plastique. Petit détail, j’ai isolé la pile ce qui permet de gagner encore un peu de temps d’utilisation, mais ce n’est que par souci de prévention.  Reste à voir comment les pêcheurs en eaux libres accueillent le produit.



















 

archives 2017

 

Essai et évaluation de produit;  prudence.

Archives saison 2015-2016 texte Luc Lafreniere

Le monde de la pêche évolue à une vitesse effarante.  Des compagnies naissent  d’autre meurt le cycle de la vie ne fait pas exception même dans ce domaine.  Arrive également une panoplie de produits tout aussi alléchants dont la présentation est impeccable  et  hop Fish on! Vous voilà pris à l’hameçon.  Je m’y fais prendre également.  Mais  suis-je en mesure de bien évaluer la performance de ce produit ?  Il est facile de dire : Ça ne vaut pas d’l …ou bien le silence total qui est parfois  signe d’un bon achat.  On se doit d’être très prudent lors de l’évaluation.  Beaucoup de facteurs doivent être considérés et souvent nous ne prenons pas le temps de le faire. Le beau petit leurre se retrouve donc  aux oubliettes dans le fond du coffre. 

Je pense personnellement que l’on doit recommander un leurre ou un accessoire qu’après avoir arrivé à une conclusion favorable.  Si nous avons la possibilité de mesurer l’efficience d’un produit, c’est donc que nous avons contrôlé l’environnement du moins en être conscient.  Plusieurs facteurs pourrait biaiser les résultats surtout les résultats négatifs.  La turbidité de l’eau, l’éclairage, les conditions atmosphériques, l’heure de la journée n’en sont que quelques-uns.  Même la technique peut en être une si l’on considère par exemple la vitesse de présentation d’un leurre.    Pour ma part, je trouve risqué de dire qu’un produit ne devrait pas se retrouver sur les tablettes et encore moins dans le fond du coffre.  Je crois que l’on peut tirer des conclusions assez précises et plus rapidement  sur des accessoires et sur des engins puisque leur manipulation en soi (en suivant les directives du fabricant)  vous convaincrons ou non  s’ils ont leur raison d’être.

Comme certaines couleurs ``disparaissent`` plus rapidement sous l’eau, si la turbidité varie entre les plans d’eau et bien il est raisonnable de penser que l’efficacité d’un leurre pourrait varier d’un lac à l’autre du moins l’effet en serait modifié et ce, même si certaines espèces ne perçoivent que les contrastes.  Nous entendons souvent dire également que telle ou telle couleur  fonctionne bien à certains  endroits.  Il ne faut pas faire la sourde oreille à ce genre de renseignement, il en résulte souvent d’une analyse faite suite à de nombreuses heures de pêche.    

On se doute bien que sous couvert de glace,  l’effet de la lumière sur les leurres et leur inertie dans certaine méthode utilisée rendent l’évaluation difficile.  Dans pareil cas, je tente de reproduire le plus fidèlement possible le poisson appât local.  De cette façon, je risque moins de passer des heures  à chercher le bon agencement.  Si les résultats demeurent mitigés, la tendance est au mouvement des engins.  Bien que j’aie toujours prôné la patience, j’ai quand même une ouverture à ce genre d’action.  Pêchant parfois dans les entrées de ruisseaux et rivières, il se peut que les références des saisons précédentes ne soient plus à jour. Jouer sur le caractère agressif de certaines espèces, la provocation par des leurres moins conventionnels demeure toujours une  option.  Une fois ces étapes franchises, le leurre devrait ou aurait dû donné certains résultats; sans quoi, si la patience de recommencer sous d’autres conditions vous anime, libre à vous.

 Pour conclure, la vérification du contenu stomacal de vos prises vous révèle un tas d’informations, prenez une photo des victimes ressentes et transportez cet image avec vous devant les présentoirs; cela aide à faire des choix assez précis et sans influence commerciale. Peu importe la perception que le poisson a, l’imitation la plus près possible de la réalité  le convaincra d’attaquer.  S’il a déjà dans l’estomac un type de proie en particulier, votre choix devrait logiquement s’en rapprocher le plus possible.   Vous serez maintenant en présence du meilleur évaluateur  et vous ne douterez pas de son intégrité.  Bon magasinage!

archives 2017

 Les leurres à cage de resonance
Une des innovations majeures de la dernière décennie est sans doute les leurres à cage de résonance. Des simples poissons-nageur d'hier, sont aujourd'hui devenus des leurres redoutables en version ''bruyante''. Les fabricants utiliseront une cavité existante dans la tête ou dans le corps du devon pour y introduire des billes de grosseurs et de densité différentes. Leurs entrechoquements émettent des vibrations de tonalités variées qui agresseront un des sens des prédateurs.
Par le fait même, l’ajout de poids par les billes améliore la distance du tir de votre leurre. De plus, selon l'emplacement de la cage de résonance, la grosseur des billes et de leurs densités, le poisson-nageur attirera les prédateurs à de plus grandes distances. Maintenant est-ce que le bruit émis par les entrechoquements des billes est entendu ou ressenti  par les poissons? Sans doute les deux, mais en ce qui concerne les attaques elles sont réelles. Ils sont les résultats de la chasse du poisson ou de leur niveau d’agressivité élevé. Sa couleur ou son agencement de couleurs ainsi que sa bavette demeure tout de même importante dans notre choix. Couleur du ciel, de l’eau, vitesse du courant, profondeur a laquelle vous désirez travailler sont des facteurs importants.
Bien entendu on ne réinvente pas la pêche, mais on peut perfectionner nos techniques avec des leurres améliorés.

archives 2017

 Saison estivale 2017, texte Guy Lafrenière

  

J'échangeais avec quelques pêcheurs ressemant sur les leurres utilisés pour différentes espèces. Tous y sont passés, devons, cuillères, jigs, leurres souples et j'en passe. Disons que le sujet de discussion n'était pas le fruit du hasard, mais bien de la nouvelle législation sur l'utilisation d'appâts naturels.
Peu de temps après cette jasette, j'ai fait le t...ri dans ce qui était le top des choix de mes copains selon leurs espèces ciblés. Il y a un leurre qui revenait côté ''efficace'' pour toutes les espèces sur lesquelles notre discussion s'arrêtait. Les jigs à poils (bucktail) et ses variantes ont une popularité encore auprès des amateurs et professionnels de la pêche.
Que ce soit pour l'achigan, doré, salmonidé ou brochet le poil de couleur ou format variés est d'une efficacité telle, que tous en possèdent dans leur coffre. Mais pourquoi ce type de leurre est si efficace? Si vous n'avez pas fait l'essai de ce genre de jig ou vu nager un bucktail, il faut remédier, car le secret est là. Regardez cette vidéo et observer bien l'effet que les poils donnent au leurre on croirait qu'il nage réellement.https://www.youtube.com/watch?v=_awCM2svau4
Ce leurre vous donne également l'opportunité de varier vos présentations en ajoutant leurres souples, vers de terre, ou en spinner bait. Les têtes, poids, couleurs les formes sont tellement variées que vous pourriez avoir dans votre coffre que des ''Bucktail''!



 

archives 2017

 Saison estivale 2017, texte Guy Lafrenière

 Tout d'abord le leurre parfait, complet et qui est bon pour toutes les espèces existe-t-il? Une simple réponse c'est non. Ensuite, est-ce qu'il y en a un qui se rapproche de la perfection? La réponse est aussi non. Mais voici le leurre que j'affectionne particulièrement a presque toute les sauces le ‘’Rattl’n Vibe de Yo-Zuri.
En saison hivernale c'est un leurre qui fait craquer ...les truites, les perchaudes, les dorés et plus encore. Ses formats de 2 1/4 po.et 2 5/8 et un poids de 3/8 oz à 9/16 oz permet l'usage de canne action ultralégère a lourde. Disponible en 15 couleurs hallucinantes. Sa cage de résonance demeure une grande partie de son succès. Ce leurre s'utilise très bien à la verticale en hiver, au lancer et à la traîne en eaux libres. Son frérot 3DB Vibes, se présente en 2 5/8 de ½ oz, mais en 18 couleurs.
Ce poisson-nageur ne possède pas de bavette, mais sa tête plate le fait osciller de tous côtés lui donnant un maximum de réfraction à la lumière ainsi que des vibrations transmises par ses billes d’acier interne.
 

archives 2017

Une nouveauté à considérer

Un nouveau leurre qui sera disponible dès l’automne 2017. Pour moi qui suis un amateur de pêche sous glace et de tout ce qui l’entoure, je me suis surpris de considérer ce nouveau poisson-nageur. Premier coup d’œil il ressemble aux Rapala jigging-rap, Northland Fishing Tackle puppet minnow ou Rapala jigging Shad Rap mais lorsque l’on porte une attention plus particulière voici ce qu’on retrouve.

Un corps fabriqué complètement de métal qui offre une grande stabilité pour la jig verticale. Ce leurre se distingue par l’ajout d’une bille de verre qui glisse sur la tige métallique de fixation.

C’est au moment qu’on lui donne de l’action qu’il retient toute notre attention. Les frappes de la bille sur le corps de métal émettent une vibration visuelle et auditive un atout important lorsque les poissons sont moins actifs. Il sera disponible pour la prochaine saison hivernale 2017-2018 en quatre formats et huit couleurs dont ma favorite ‘’Fire Tiger Glow-UV.

https://www.youtube.com/watch?v=6EMXlfhQN-Q

http://www.freedomlures.com/stealth.html
 

archives 2017

 

Truite grise à la jig

Comme tous les pêcheurs le savent bien la truite grise est agressive et donne de très beaux combats. Au printemps comme à l’automne cette dernière nage en eaux peu profondes et se pêche plus facilement à la traîne.  Lorsque les températures plus chaudes de l’été s’installent, la grise descend tranquillement vers les profondeurs plus fraîches. La grande majorité des pêcheurs sur grand plan d’eau ont entendu parler et essayer de la prendre à la dandinette. Mais, plusieurs avec moins de succès que d’autres. Vous êtes-vous posé la question pourquoi? J’adore et suis un fan de ce type de pêche hiver comme été. Je vous ai fait un résumé des facteurs de réussites pour en prendre sur une base régulière. Pour ce, j'ai consulté les textes et vidéos des experts.

Le premier facteur qui permet d’avoir du succès au touladi à la dandinette est d’utiliser un sonar. La puissance et la précision de l’appareil d’aujourd’hui permettent de localiser la truite. Daniel Robitaille guide professionnel de la pêche (http://danielrobitaille.com/wpblogue/) ajoute, sans sonar la localisation est difficile. Vous pouvez pêcher à la traîne, suite à des attaques vous localiserez le salmonidé, et ensuite, vous pourrez tenter votre chance dans ce secteur. Mais les guides de pêche sont unanimes, ‘’localisez les poissons et vous sauverez beaucoup de temps’’ . André Morin, représentant Lowrance au Québec et grand amateur de pêche a la jig sur le lac Champlain, démontrait clairement dans une vidéo diffusée sur YouTube, les échos sur son écran de sonar, qui affichait poisson et jig. L’aspect ‘’malade’’ de tout ça, c’est de voir se lancer le poisson sur le leurre. Le tout en direct sous nos pieds.Écran de sonar Humminbird, qui affiche l'écho du leurre en action de descente et de montée. On identifie le prédateur remonté sur le leurre.


L’utilisation d’une canne adéquate est essentielle, il faut garder en mémoire qu'à la mi-juillet jusqu'au début septembre la grise nagera dans des eaux de 60 pieds et plus de profondeur. Vous en trouverez régulièrement à plus de 100 pieds. Donc des leurres de ½, ¾ et même jusqu’à 2 oz est préférable. Gord Ellis dans son blog Gord Ellis Outdoor (http://blog.gordellis.com/) ajoute même qu’il se rend a 3 oz dans le but de bien frapper le substrat et créer de l’activité. Pour s’assurer d’avoir un bon contrôle sur le poids de votre leurre, il faut une canne à action rapide et une puissance moyenne ou une médium lourde donnent de l’excellent travail. Il faut ressentir le leurre à la descente comme à la montée. Patrick Campeau chroniqueur chasse-pêche(http://www.pcampeau.com/) , indiquait que  80% des attaques se produisent pendant l'action de la jig mais à la descente. Il est important de bien avoir le poids de la jig sur la corde en tout temps et d’éviter qu'un ‘’lousse’ se produire lors de la descente. Pour le complément un fil tressé de 15 livres avec un avançon de 6 à 8 pieds de flurocarbon clos le tout.

Le choix des jigs, rien de plus simple.

Jeff Schlachter du Outdoor Edge Magazine  indiquait que seulement un petit coffret de pêche est nécessaire  pour pêcher la grise à la jig. Des têtes de jig 3/8 oz et des leurres souples de couleurs, chartreuse, blanc, noir, orange et rose et vous êtes en voiture.  Je regroupe les jigs dans 3 grandes familles, les bucktail (poils), les leurres souples, et les crainkbait sans bavette. Mais, concentrons-nous sur les 2 premiers. Les leurres à poils de chevreuils de couleur blanc, noir ou mauve et la combinaison de ses couleurs sont gagnantes. Le ‘’plastique’’ est un super alternatif, par les formes et ses couleurs offertes sur le marché. Les modèles de type ‘’paddle tail’’ sont excellents par l’action que leur queue produise. Gord Pyser éditeur du Outdoor Canada Magazine aime une tête de jig 3/8 oz avec un leurre souple de type ‘’grubs’’. Comme les légendaire Mr. Twister. Ci-haut, Grub de meme type que ceux utiliser pour le doré. 4" Exude® Curly Tail® GrubCi-haut, le tube. cellui-ci c'est le Z Man TRD Tubez de 2 3/4 po. offert en 9 couleurs

Comment pêcher le touladi?

Pour ma part je la pêche de façon agressive. Je descends ma jig au fond, je lui donne un moment de pause, ce de quelques secondes, et je remonte mon leurre à très bonne vitesse. Si, l’écho sur mon sonar indique que la truite suit ma jig, je poursuis ma montée rapidement, comme une proie qui se sauve du danger. Si toutefois elle arrête ou rebrousse chemin, j’ouvre mon barillet et je laisse redescendre mon offrande. Souvent, le touladi attaquera le leurre à cet instant. Pour Gord Pyzer, son approche est plus en douceur. Après avoir déposé sa jig au fond il le relève un peu et donne une action a son leurre, il dandinera 4-5 minutes. S’il n’y a aucune attaque, il remontera par palier d’une dizaine de pieds et recommencera le même stratagème.Ci-haut, le fameux jig ''Buck tail''. Excellent dans toutes les situations, tout particulièrement pour le touladi à la dandinette.Pour ce qui est de la remise à l'eau, je n'ai pas trouvé de résultat d'étude scientifique qui démontre le taux de succès de ce geste. Selon le plan de gestion du touladi du Quebec 2014-2020 du MFFP, (http://www.mffp.gouv.qc.ca/faune/peche/pdf/Plan-gestion-touladi2014-2020.pdf) le taux de remise à l'eau est de 57% mais ne spécifie pas le rendement.


À la lumière des conseils des experts, nous retenons que leurs méthodes ont toutes un point en commun. Pour être efficace, il faut à prime à bord utiliser un sonar pour localiser notre cible.  À cet endroit, s’ancrer, être le plus stable possible, un moteur électrique tel le I-Pilot avec option encrage, ce type de moteur utilise le point gps enregistré au moment ou vous peser sur le bouton encrage. Présenter son offrande de façon à ce que la truite attaque, ajuster la vitesse de récupération si nécessaire et, selon l’humeur du poisson varier la forme et la couleur du leurre.
Bonne pêche!
 

archives 2017

 

 

Toute une progression

Après toutes ces années passées sur la glace, j’ai vu des développements qui ne cessent de m’impressionner. Les cannes sont plus performantes, les leurres de plus en plus réalistes, les vêtements adaptés aux conditions hivernales, les fils fabriqués sur mesure pour les températures extrêmes, mais à mon avis, un des plus importants c’est le sonar de pêche. 

Je vous ferais grâce de l’historique et de l’évolution de cet appareil rendu aujourd’hui indispensable, mais faut-il écrire que d’une année à l’autre la qualité des images rendues est incroyable. Je croyais bien que la précision et la qualité des sonars ‘’flasher’’ seraient indélogeables, mais on n’avait rien vu encore.  Des grandes compagnies travaillent fort en recherches et développements afin de se surpasser et aussi donner à leur clientèle le maximum pour chaque dollar investi.






Avant d’investir dans les $600.00, il faut bien prendre connaissance des capacités de l’appareil que l’on regarde. Quels sont les critères importants pour un pêcheur sous glace, mais qui peuvent aussi avoir leurs utilités dans votre bateau? Une technologie CHIRP de grande précision, un écran subdivisible, un GPS intégré avec possibilité de mettre nos cartes bathymétriques ou même de les créer.  En plus, des outils indispensables tels l’écran ‘’flasher’’, une sonde qui émet sur 3 angles 9, 15 et 21 degrés à 4,000 Watts. Un indicateur de profondeur et du niveau de batterie. J’ai assez tourné autour du pot, on regarde ensemble le tout nouveau Ice Helix 5 Chirp GPS. Je suis tellement étonné des ajouts qui sont à toute fin très utile et non seulement des gadgets.  Une fonction à l’écran indique la surface que la sonde couvre au fond du plan d'eau.. Avec ce réglage vous savez exactement quelle surface du fond vous visualiser sur votre écran. Au centre du cadran s’affiche la profondeur. Une échelle gradée indique le niveau de charge de la batterie. Au haut de l’écran s’affiche l’indicateur du zoom en nombre complété d’une bande contrastante sur le cadran indiquant la portée du zoom. 

Le sonar peut être utilisé en mode 2D comme tout sonar conventionnel. La tête de cadran lorsque vous désirez l’utiliser en eaux libres, vous n’avez qu’à installer un transducteur désigné et activer la fonction eau libre.

Pour plus d’information, consultez www.humminbird.com

archives 2017

 

Quand la température le permet, la pêche sous glace en décembre revêt un caractère particulier. C’est souvent l’aboutissement d’une longue période d’attente.  Mais quels leurres utilisés?  Pour la pêche à la brimbale et tip up; je n’apporte aucune modification si ce n’est  la profondeur de l’offrande.  Les appâts naturels sont à privilégier en s’ajustant  à la réglementation en vigueur.  Ceci dit, lorsque je croise le fer avec les salmonidés, ma présentation  se fera sur le premier tiers de la colonne d’eau;  voir même, quelques dizaines de centimètres à peine sous la glace.

  Sur certaines de mes cannes à dandiner, j’ai toujours mes valeurs sûres; celles qui m’ont donné un rendement satisfaisant la saison précédente.  Je parle ici de leurres de type tube ainsi que de petits jigs de type bucktail.  Le début de saison étant souvent gage d’une bonne réceptivité, j’en profite donc  pour intégrer des nouveautés.  J’utiliserai très certainement des leurres verticaux et quelques jigs de la compagnie Freedom.  Certains d’entre eux possèdent des caractéristiques intéressantes qui suscitent ma curiosité. Ce sera assurément de belles découvertes.   L’utilisation d’agrafes métallique (type No-Knots) est d’une aide précieuse. (2 modèles en illustration)   Vous sauverez  beaucoup de temps lorsque vous serez en mode essai éliminant le temps alloué aux nœuds.

Comme les compagnies développent constamment  de nouveaux leurres, il devient intéressant de sortir de notre zone de confort et faire ainsi de belles trouvailles.  C’est également le temps de donner une deuxième chance à certains leurres qui vous ont semblé inefficaces la saison précédente. 


 

archives 2017

 En début de saison, lorsque la glace nous permet enfin de poser le pied sur les lacs, nous avons tous hâte de percer nos trous dans les secteurs choisis. La disposition des engins demeure souvent un choix personnel issu de certains facteurs telle la structure sous-marine, présence d’un tributaire, la direction du vent ou tout simplement l’habitude.  Pour ma part le premier facteur en est un déterminant.  J’essaie souvent de travailler les bords de plateau et de positionner les tips up sensiblement à la même hauteur.  Bien sûr que cette disposition est conditionnelle à une bonne connaissance du secteur.  Dans une tout autre circonstance, lorsque cette donnée est inconnue, il pourrait être judicieux de se placer en mode prospection et de volontairement varier la disposition et la profondeur de la présentation.  De cette façon, lorsqu` il y aura collaboration du poisson, beaucoup d’informations en émaneront. La profondeur préférentielle de la cible en est une, mais en variant la profondeur de l’appât, vous aurez tôt fait de cibler avec plus de précision l’emplacement vertical et horizontal du poisson.

Ce qui m’amène à vous suggérer une méthode que plusieurs pêcheurs utilisent maintenant; l’emploi de la canne à jigger.  En respectant le nombre de lignes réglementaires de la zone, l’usage de la «jiggeuse» permet de faire des essais rapides à diverses profondeurs et ainsi collecter de l’information précieuse. Si vous avez investi dans l’achat d’un échosondeur, quel que soit le type, et bien vous en verrez la tâche simplifiée de beaucoup.



 

archives 2017

 L’heure est aux leurres agressifs!
Je ne m’en cache pas, je suis un fan fini des leurres agressifs. Celui qui fait sa marque à la verticale sous la glace est nul doute le devon à bavette arrière. Ce dernier que je classe avec un niveau d’agressivité d’action intense réveille l’instinct prédateur des poissons ciblés. Ce design donne beaucoup d’amplitude au planage lors de la descente dans la colonne d’eau. Sa nage augmente son déplacement offrant ainsi une plus grande surface de pêche. À ce jour, presque toutes les compagnies de leurres offrent ce type de devon. La gamme de format, poids et couleurs offertes est telle que vous pouvez cibler perchaude, achigan, truite et brochet sans oublier le doré.
J’ai fait une rencontre intéressante l’été dernier avec le ‘’Turnback Shad’’. Ce devon métallique moulé a des atouts que je recherchais dans ce modèle de leurre. Fini le crochet d’hameçon à l’avant du leurre qui pique les doigts, qui s’accroche au bord du trou. L’utilisation d’un matériau plus lourd, qui permet la fabrication d’un leurre plus petit tout en gardant un poids intéressant sur le bout de la canne. Ce devon offre une tige d’attache pivotante munie d’une bille qui est libre au centre du corps du poisson, ce dispositif ajoute un élément provocateur qui attire les prédateurs de plus loin encore. Disponible en 4 formats de 1 ¼ po. À 2 ¾ po. De 3/32 oz à 1 oz dans 8 couleurs dont 5 UV et 3 glow.

https://youtu.be/jQMNFeu6XMo

archives 2017

 La saison de pêche blanche se présente avec une nouvelle réglementation sur les appâts vivants. Pour plusieurs espèces, le ver de terre et les asticots demeurent très efficaces.

Voici maintenant ce que vous devez savoir, pour qu’ils soient au maximum de leur efficacité.

Conservez-les le plus adéquatement possible. Lorsque vous vous les procurez en bonne quantité et que vous désirez les conserver plus longtemps, suivez les règles de conservation suivantes :

Utilisez un récipient assez grand, l’idéal étant que le mélange asticots/sciure occupe plus de la moitié de votre contenant. Vous laissez donc assez d’air pour que les asticots puissent respirer pendant plusieurs semaines. Choisissez un espace de stockage au frais, comme un vieux réfrigérateur, une chambre froide, un sous-sol au frais, où la température oscillera entre 4 et 6 degrés. Prenez le temps tous les cinq jours de faire le ménage et de retirer les asticots morts. Changez aussi la sciure le plus possible en passant les asticots au tamis.

Les vers de terre doivent aussi rester au réfrigérateur, à cette température. N’oubliez pas, quand il fait froid, que le choc thermique d’une automobile chauffée à bloc peut les tuer. Soyez donc prudent et laissez le bouton du chauffage à moitié réglé, pour leur bien-être et celui de vos futures pêches. Mieux vaut des vers qui bougent peu sur un hameçon que des vers morts !

Voici maintenant une petite astuce pour modifier leur couleur. Prenez une petite quantité d’asticots, posez-la dans un petit récipient, comme les boîtes de pilules que le pharmacien vous donne, et versez quelques gouttes de colorant alimentaire. Vous décuplerez l’attraction des asticots en fonction des endroits où vous pêcherez. N’oubliez pas que cette méthode ne dure pas dans le temps et qu’après avoir baigné dedans, il faut remplacer les asticots. Ne traitez pas de grosses quantités d’asticots à la fois car ce traitement raccourcit leur durée de vie de façon significative.

Il y a actuellement des produits à essayer qui donnent de beaux compromis : les maggots de Berkley, disponibles en plusieurs couleurs, les asticots momifiés et tous les leurres artificiels qui leur ressemblent. Ceci étant dit, n’oublions jamais que rien ne remplace un asticot naturel lorsque la pêche est plus difficile et lorsque nous explorons de nouveaux territoires.

archives 2017

 Assiette isolante
Les premiers jours de pêche blanche de cette saison 2017-2018 sont stupéfiants. Tantôt nous avions à peine de la glace pour nous faire un cocktail et quelques jours plus tard nous en avions pour emplir un aréna. Disons que ce froid a été intense, mais positif. Pour les passionnés ce n’est pas ce froid qui les a arrêtés. Une pêche à la dandinette à l’intérieur d’un abri chauffé est l’idéal, mais pour les engins utilisés au grand vent et aux froids extrêmes? Il y a une solution toute simple et peu coûteuse.
Des assiettes isolantes que l’on dépose sur le trou. Elle le recouvre entièrement ce qui a pour effet de retarder considérablement son gel. J’ai pêché à -27 degrés, et 3 heures après mon installation, il n’y avait qu’une fine couche de glace qui s’était formée en surface.
La fabrication est facile et rapide. Vous pouvez vous procurer des plaquettes de caoutchouc mousse dans les magasins à $1, elles se vendent autour de $1 à $2. Vous tracez à l’aide de votre chaudière de 5 gallons un cercle pour les tailler par la suite. Le résultat obtenu peut sembler surdimensionné, mais l’excédent vous sera utile lors de son installation; un peu de neige sur le contour la tiendra en place. Au centre, faite un autre petit cercle adapté au type d’engin utilisé (environ deux pouces pour une brimballe a moulinet submergé et un pouce pour une brimballe traditionnelle considérant le passage du fil seulement). Pour terminer, découper une ligne entre l’extérieur et le centre de votre assiette, ce sera votre accès pour glisser votre brimbale ou le fil lors de son retrait.
Vous pourrez maintenant braver le froid sans crainte du gel excessif de vos trous 

Copyright © 2025 Pêche Fokus Fishing - Tous droits réservés.

  • Chroniques
  • Sorties
  • Galerie de photos
  • Contactez nous
  • Facebook Fokus Fishing

Optimisé par

Ce site web utilise des cookies.

Nous utilisons des cookies pour analyser le trafic du site Web et optimiser votre expérience sur le site Web. En acceptant notre utilisation des cookies, vos données seront agrégées avec toutes les autres données utilisateur.

RefuséAccepté

Bienvenue

Si ce n'est déjà fait abonnez-vous ! Vous aurez des choriques avant les parutions de Facebook ou même en exclusivité des textes destinés au web seulement. 

Abonnez-vous!