Pêche Fokus Fishing
  • Accueil
  • SURFACE
  • KAYAK Pêche
  • PÊCHE BLANCHE
  • Chroniques
  • Sorties
  • SORTIES (SUITE 2)
  • SORTIES (SUITE 3)
  • Sortie (été 2023)
  • Nos partenaires
  • Galerie de photos
  • Contactez nous
  • À propos
  • ARCHIVES 2019
  • ARCHIVES 2018
  • ARCHIVES 2017
  • ARCHIVES 2016
  • ARCHIVES 2015
  • ARCHIVES 2014
  • André Gervais au baret
  • André Gervais Lac Magog
  • André Gervais Memphré
  • André Gervais pêche folle
  • André Gervais au Vermont
  • André Gervais a la brune
  • André Gervais prospection
  • André Gervais salmo truta
  • André Gervais père & fils
  • Plus
    • Accueil
    • SURFACE
    • KAYAK Pêche
    • PÊCHE BLANCHE
    • Chroniques
    • Sorties
    • SORTIES (SUITE 2)
    • SORTIES (SUITE 3)
    • Sortie (été 2023)
    • Nos partenaires
    • Galerie de photos
    • Contactez nous
    • À propos
    • ARCHIVES 2019
    • ARCHIVES 2018
    • ARCHIVES 2017
    • ARCHIVES 2016
    • ARCHIVES 2015
    • ARCHIVES 2014
    • André Gervais au baret
    • André Gervais Lac Magog
    • André Gervais Memphré
    • André Gervais pêche folle
    • André Gervais au Vermont
    • André Gervais a la brune
    • André Gervais prospection
    • André Gervais salmo truta
    • André Gervais père & fils
Pêche Fokus Fishing
  • Accueil
  • SURFACE
  • KAYAK Pêche
  • PÊCHE BLANCHE
  • Chroniques
  • Sorties
  • SORTIES (SUITE 2)
  • SORTIES (SUITE 3)
  • Sortie (été 2023)
  • Nos partenaires
  • Galerie de photos
  • Contactez nous
  • À propos
  • ARCHIVES 2019
  • ARCHIVES 2018
  • ARCHIVES 2017
  • ARCHIVES 2016
  • ARCHIVES 2015
  • ARCHIVES 2014
  • André Gervais au baret
  • André Gervais Lac Magog
  • André Gervais Memphré
  • André Gervais pêche folle
  • André Gervais au Vermont
  • André Gervais a la brune
  • André Gervais prospection
  • André Gervais salmo truta
  • André Gervais père & fils

PÊCHE en KAYAK

3 présentations de base pour l’achigan

Je ne prétends pas un expert ni un grand pêcheur d’achigan, mais depuis quelques années je m’y intéresse beaucoup et je veux partager avec ceux qui le désire mes applications. Comme dirait mon bon ami René Larochelle, je suis en mode « recherche et développements ». Cette semaine j’ai pu confirmer que pour une sortie de pêche à l’achigan à petite bouche, 3 types de présentations sont essentielles. La surface, la finesse et le dernier que je nomme l’agressif. 

La présentation de surface avec des leurres tels la grenouille, le « popper » ou un devon de grande commotion (choppo, whopper plopper) a la limite est excellent. 

La finesse, comme le senko en présentation wacky, les swimbaits en « cast & retreive » et les leurres souples en dropshot tel les « TrickshotZ » n’ont plus à faire leurs preuves. 

La présentation dite agressive regroupe surtout les « jerkbait » de suspension. J’inclus également les « Crainkbait ».

Voici donc pourquoi il est préférable de pêcher l’achigan avec au moins 3 cannes de préparer. Pour ma part, ma première présentation près des rives ou structures de hauts fonds, se fera avec un « Choppo » leurre de surface pour évaluer l’humeur agressive ou non du poisson. Ensuite, selon les attaques ou les suivis de bass, je présente immédiatement mon deuxième montage un wacky ou un swimbait, ceci génère généralement une attaque instantanée. Un peu plus tard en matinée, lorsque les échos sur le sonar m’indiquent que le poisson se dirige vers une colonne d’eau de 12-16 pieds et que ces derniers nagent en suspension, je mets la charge avec un « jerkbait suspended » qui me permet de présenter une offrande à leur hauteur dans la colonne d’eau. Ce leurre avec une nage erratique attire le bass comme un aimant. Si je dois présenter un leurre plus rapidement, le « crainkbait » lui, descendra vivement à la bonne profondeur.  

Pêcher le doré en kayak sous une autre dimension

Pêcher le doré en kayak est déjà un défi en soi, mais il y a une technique qui augmente les chances d’en prendre. Lorsque vous pêchez en kayak et que vous avez la chance d’avoir une force motrice autre que la pagaie (pédalier ou moteur), la technique du marcher de fond s’offre à vous. Très peu de pêcheurs en kayak tentent le coup avec cette méthode de pêche à la traîne à tort. Je l’ai même mise à l’essai en rivière et les résultats sont très éloquents. 

Ce qu’il faut mettre en pratique, le poids avec une broche doit gratter continuellement le fond, derrière celui-ci un avançon avec un harnais a ver (18-36 po.) ou un simple hameçon « slow deph » (Hameçon croche qui donne une action circulaire au ver de terre ou a la sangsue. Le poids du marcheur de fond se choisit selon la profondeur que vous pêcherez soit, 1 once au 10 pieds. Donc, pour une pêche dans 25 pieds de colonne d’eau on prendra 2,5 onces. Il est important qu’au moment de la traîne, votre fil soit un angle de 45° du bout de la canne vers le fond, ceci permet de voir et sentir les attaques sur le bout de la canne. Votre vitesse de traîne devrait se situer entre ,75 et 1,25 mph. Lors d’une attaque, il est primordial de laisser votre offrande partir avec le poisson, le ferrage se fera en balayant vers l’avant. Le but de cet exercice est de laisser le temps au doré d’avaler votre ver ou sangsue.

Une canne à puissance moyenne avec une action modérée rapide est l’outil qui m’a bien réussi. J’ai aussi tenté le coup avec un fil tressé de petite dimension, mais dû au fait qu’il flotte, ce dernier crée un arc au moment de la traîne. J’ai donc ajouté une trentaine de pieds de flurocarbone comme bas de ligne, ce dernier est fin, et lourd, il coupe bien l’eau pendant la traîne, j’ai donc un contact plus direct avec mon marcheur de fond. Un moulinet lancé léger fait le travail, mais un lancer lourd avec l’option « flippin’switch » vous permet de suivre le fond rapidement. 

Essayez-le et n’hésitez pas à partager vos expériences. 

Doré en rivière, choisir un leurre en eau froide et turbide

  

Je veux dans cette chronique, tout simplement partager l’expérience de notre sortie de cette semaine en rivière à la recherche de doré. Afin de mettre la table, nous sommes le 22 mai, 5h00, un mercure qui oscille les 5°C. Une légère brise (à cette heure).  Nous sommes sur une rivière en Estrie ou le débit normal a cette période est de 82 m3/s, aujourd’hui il est de 93 m3/s. Le niveau de l’eau est d’environ 2 pieds plus haut que nous avons l’habitude de la pêcher. La tinte de l’eau est brunâtre et beaucoup de sédiments sont en suspension. La température de l’eau en surface s’affichait à 57°F encore loin de la température préférentielle du doré qui se situe entre 62-72°F. 

Pour la portion de rivière que nous pêchons, plusieurs techniques sont possibles. À l’aide de mon sonar, j’ai détecté des échos sur la bande entre 15-21 pieds de colonne d’eau, la première technique utilisée est le « snapjigging », avec un leurre souple de couleur foncée. Cette approche permet de créer une bonne commotion autour du leurre et de provoquer les attaques. Le « sassy swimmers » de Mister Twister couleur « penetration » un bleu foncé avec flocons brillants à fait le travail avec une tête de jig 1/5 oz.  Je crois ici que l’important c’est la couleur foncée avec une présentation agressive qui a réussi à déjouer le doré. 

En deuxième partie, je me suis tourné vers la traîne avec un marcheur de fond. Ceci dans le but de couvrir le plus de terrain possible afin de localiser le poisson. L’expérience passée dans un autre plan d’eau m’indiquait que la couleur qui fonctionnait bien dans ces conditions était le rose. J’ai attaché un marcheur de fond de 1,5 oz et un harnais à ver « Invasion » 911.  Et effectivement, le doré a bien répondu à cet agencement. Il est important de mentionner que j’ai dû réduire ma vitesse de traîne sous le 1 mph, et l’idéal était .75 mph. En rivière, j’ai constaté rapidement que l’utilisation d’un moulinet lancer lourd avec un mécanisme « flippin switch » est l’idéal. Il permet de descendre votre présentation en appuyant sur le bouton de relâche, sans toutefois a avoir a tourner la manivelle pour refermer la relâche. 

Une dernière présentation qui a bien réussi, compte tenu de la présentation très lente, est le "drop shot" à la dérive. L’appât est tout simplement un ver de terre. Le courant et le vent nous permettaient un déplacement entre .25 et .5 mph. Toutefois, avec la levée du vent d’Ouest vers 9h00, cette technique c’est avérée moins efficace. 

Bonne pêche et amusez-vous bien, n’hésitez pas a partager avec nous vos expériences. 

Les topwater, leurre différent, présentation différente

 Je crois qu’il faut parler de ce type de leurre. Les « topwater ». Je travaille à temps partiel dans une boutique de chasse et pêche, ce qui me permet d’échanger beaucoup avec les amateurs de pêche. Je me rends compte que plusieurs d’entre eux qui pêchent l’achigan aux leurres de surface font la même erreur de présentation que je faisais. Faire des lancers et récupérations rapides fonctionne parfois, mais… 

voici donc les observations que j’ai faites, et les applications qu’ils s’en suivent. Allons-y avec mes quatre favoris. Grenouille, popper, devon à hélice (Berckley choppo) et le « stick bait ».

Avec la grenouille un lancer le plus près de la rive possible est essentiel. Ceci est la phase 1 d’une présentation efficace. Avant toute autre action, il faut attendre que les ondes sur l’eau cessent. Ensuite, une récupération sèche de 2 ou 3 coups pour un déplacement suivi d’une immobilisation, on attend encore que les ondes disparaissent. Répétez cette opération, attention, l’attaque survient souvent au moment de la pose de votre leurre. Important, au moment de l’attaque donnez-vous 2-3 secondes avant le ferrage afin de vous assurer que l’achigan a pris la grenouille dans la gueule. 

Pour ce qui est du popper, la technique est relativement la même que la grenouille sauf pour la récupération, j’y vais avec des petits coups de 4-5 répétitions. Et je garde la même stratégie d’attendre que les ondes disparaissent. 

Le « stickbait » qui nage en « walk the dog » c'est-à-dire des mouvements brusques de droite à gauche. Ce leurre déplace beaucoup d’eau et il est bruyant, attirant ainsi les prédateurs sur une bonne distance. J’aime la récupération longue et lente, ce qui permet au leurre de couvrir beaucoup de surface. 

Le dernier et mon favori le devon a hélice, un poisson-nageur sans bavette avec comme section arrière une demie hélice qui est très bruyante au moment de la récupération. Sa nage est linéaire, donc vous pouvez effectuer des pauses. Pour ma part, je change la vitesse de recouvrement, mais je n’arrête pas sa course. C’est un leurre très réactif et efficace. J’ai essayé quelques couleurs, il semble que le noir soit le plus efficace. 

Amusez-vous bien, et restez bien concentrer car les attaques explosives de l’achigan sont vives et inattendues.  

Ne négligez pas les autres espèces.

 Quelques sorties par saison mon ami René et moi aimons prendre le temps de pêcher sans pression, sans objectif très précis. Nous prenons cette période de la saison ou la température de l’eau est en transition passant des 45°F vers les 65°F. Cette fenêtre occasionne une importante migration des poissons des secteurs près de la rive ou l’eau se réchauffe vers des paliers dans la colonne d’eau plus fraîche. 

C’est le temps de s’amuser grandement avec les « autres » espèces. Ou, comment et avec quoi? Et bien le côté plaisant de cette approche est simple, un plan d’eau multi-espèces tel le petit lac Magog comme exemple. Les techniques de pêche pour ce type de pêche sont variées, car nous visons perchaude, crapet-soleil, brochet maillé, crapet de roche, baret. Notons que ses espèces maraudent encore à cette période fin mai début juin près des berges, mais se concentrent particulièrement dans la zone 5-8 pieds. En kayak ou tout autre embarcation vous avez trois approches, la traîne qui incluse la dérive, le lancer et récupération incluant le « snap jigging » ma technique favorite, et la dandinette (jig). 

Traîne, nous utilisons deux leurres principaux pour cette technique, René aime bien traîner un « woolly bugger » avec sa moucheuse et moi un poisson-nageur de petit format (pin minnow de Yozuri). La vitesse de traîne est assez lente entre .75 et 1,5 mph. 

Lancer, ma technique favorite pour déjouer le "pan fish". Je place mon kayak sur une colonne d’eau de 12 pieds et effectue mes lancers vers la rive, et récupère en saccade très prononcée. Le poisson réagit agressivement sur la descente en moment de pause. J’utilise des têtes de jig entre ¼-1/5 oz avec des leurres souples de moins de 3 po. Idéalement 1,5 à 2 po. Des patrons qui passent du noir au blanc avec l’incontournable firetiger. 

Jig, lorsqu’il y a une grande concentration de poissons, on se permet de « jigger » sous l’embarcation. C’est une autre technique qui est productive lorsque le poisson collabore. 

Pour le plus grand plaisir de cette pêche j’utilise une canne de 6 pieds à puissance ultralégère, un moulinet 100-150, un tressé de 6 livres et un avançon de flurocarbon de 8 livres. 

Amusez-vous bien, car ses espèces donnent un combat non négligeable pour leur format.   

Copyright © 2025 Pêche Fokus Fishing - Tous droits réservés.

  • Chroniques
  • Sorties
  • Galerie de photos
  • Contactez nous
  • Facebook Fokus Fishing

Optimisé par

Ce site web utilise des cookies.

Nous utilisons des cookies pour analyser le trafic du site Web et optimiser votre expérience sur le site Web. En acceptant notre utilisation des cookies, vos données seront agrégées avec toutes les autres données utilisateur.

RefuséAccepté

Bienvenue

Si ce n'est déjà fait abonnez-vous ! Vous aurez des choriques avant les parutions de Facebook ou même en exclusivité des textes destinés au web seulement. 

Abonnez-vous!