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archives 2018

 Trouve l’arc-en-ciel, goûte à l’arc-en-ciel

Loin de moi l’idée de faire de la publicité pour les petits bonbons de couleurs, mais pêcher l’éperlan arc-en-ciel a le même effet que de s’offrir ces petites gâteries. Ce petit poisson est très populaire en Estrie et souvent pêché à l’aide d’une épuisette lors de la fraie au printemps. Cependant, on se passionne vite pour sa pêche en hiver, avec un équipement adapté. Pour ceux qui utilisent un éco sondeur, la localisation est plutôt simple puisque qu’un banc est facilement perceptible.  Lorsque l’on pêche à l’aveugle, la recherche peut être un peu plus laborieuse, mais une fois cette tâche accomplie, le plaisir commence. Servez-vous d’un stoppe-fil, que vous avez préalablement fixé sur votre ligne, pour retrouver la profondeur idéale.  L'éperlan trahit également la présence de prédateurs, notre cible première. Il n’est pas surprenant de prendre de beaux salmonidés en pêchant l’éperlan, mais l’équipement ultra léger amplifie l’expérience.

Que vous le pêchiez pour la consommation ou pour simplement vous faire une petite réserve d’appâts morts (zone 6, limite de 120), la technique est des plus simples. L’équipement doit être le plus léger possible. On sort donc la canne ultra légère, un petit montage drop shot avec des hameçons numéro 16 à 20 en dérivation (pas plus de 3, n’oubliez pas), des asticots et le tour est joué. Cette pêche demande toute votre attention et vous devrez vous concentrer sur le bout de votre canne. La touche est plutôt subtile, mais vous aurez tôt fait de vous ajuster au moment du ferrage.

Amusez-vous !

archives 2018

 Choisir un abri de pêche blanche est chose facile. Il suffit d’analyser votre besoin. Comment vous déplacez-vous sur la glace? Et vous avez votre réponse. Je m’arrête aujourd’hui sur le «Pop Up», l’abri qui se transporte facilement sur le dos ou dans le traîneau. Excellemment pour un budget plus restreint. Comment choisir, voici des clés.
Les "moyeux ou hubs en anglais" au nombre de deux à huit doivent être fabriqués de métal pour leur résistance. Ceux de plastique  pourraient être plus fragiles lorsqu’exposés au grand froid. Le moyeu (hub) est le système qui relie toutes les tiges de fibres de verre entre elles pour donner le volume à votre abri une fois déployé. C'est le cœur même de votre abri il est donc essentiel qu'il soit de bonne fabrication. Les tiges en fibre de verre gardent une bonne flexibilité même par temps froid. Il se monte en moins de quelques secondes et se sécurise avec des encrages visés dans la glace, assurez-vous que les vis soient bien coupantes, sinon la tâche sera ardue. Prenez bien soin de magasiner votre abri, car cette dépense pourrait devenir un investissement à long terme. Un bon entretien, soi un séchage de votre toile après usage aidera a la gardée propre et loin des moisissures. Si vous garder votre abri soit a l'extérieur au froid, ou dans votre cabanon, ou même dans votre remorque, faites très attention lors de votre prochaine sortie. Au moment où vous la déploierez sur la glace, les résidus de neige et de glace se collent sur la toile et sur les tiges, affichant ainsi un risque au déploiement que la glace endommage votre toile, fenêtres ou moyeux.

Cet abri vous donnera mobilité et confort afin de donner de la longévité aux journées plus froides. Une dépense à compter de $150 qui peut toutefois augmenter avec les options.

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 Une journée type avec les gars

Comme à l’habitude, nous sommes dans le stationnement où nous nous rejoignons pour préparer le matériel en essayant d’oublier la nuit interminable que l’on vient de vivre, tant l’envie de la pêche prenait le dessus sur le sommeil. Enfin, on part, se suivant en VTT ou en Ski-Doo, direction le « spot » qui, comme à toutes les sorties, est choisi stratégiquement en fonction de la direction des vents et la période où nous sommes rendus dans la saison.

Une fois arrivés, il ne fait pas tout à fait clair. On sort nos flags, nos appâts et on s’installe en variant nos profondeurs puisqu’à cette période de la journée, nous visons plus particulièrement la truite, soit la truite arc-en-ciel, la ouananiche (aussi appelée saumon d’eau douce), et la truite brune. Étant habituellement cinq, parfois six, on couvre une très grande superficie, qui nous permet de bien travailler le secteur.

Notre objectif minimal est habituellement de prendre une seule truite puisque nous savons tous ce qui se produit lorsque l’on vise trop haut… Pour passer le temps, on s’installe non loin de nos flags mais juste assez pour changer de profondeur et nous tentons de prendre quelques perchaudes ou une truite de passage avec nos superbes merveilles technologiques, que ce soit un sonar à cadran, et pour ma part, un Hummingbird Ice 45.

Habituellement, vers dix ou onze heures, nous ramassons le matériel et partons pour une tout autre pêche. Nous recherchons surtout une zone qui joue entre 35 et 55 pieds de profondeur pour y trouver presque de tout, comme la perchaude, du baret, de l’achigan et même des salmonidés en suspension. Quel plaisir nous avons !

Du poisson, des histoires, une franche camaraderie, bref un gros WOW ! Bonne pêche !

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Un petit arrêt au Tim et nous voilà partis pour une merveilleuse journée de mars au brochet. Mon père, son ami Bertrand et moi sommes en route pour être à 6h00 au lac. Nous en sommes à nos débuts au brochet et n’avons donc pas de grosses attentes, mais nous voulons quand même tenter notre chance pendant cette belle journée qui s’annonce bien ensoleillée. Bertrand a décidé de pêcher avec des drapeaux, tandis que mon père et moi avons opté pour des brimbales traditionnelles. Mon père les a confectionnées lui-même et soit dit en passant, ce type d’engin est excellent pour initier les jeunes qui débordent d’énergie et qui aiment courir!

À 6h20, éperlans de mer à l’eau, nous sommes enfin prêts pour la première attaque. C’est à mes 13 ans que j’allais voir, pour la première fois, un brochet trophée. À peine sommes-nous installés que l’un des drapeaux de Bertrand se lève. Nous étions tous excités de voir ce qu’il y avait au bout de la ligne. Après avoir combattu ce bétail pendant quelques minutes, nous le sortons enfin du trou et décidons de le peser pour un poids total de 18.5 livres. Quel début de journée sensationnel !

Nous étions encore en train de parler de ce monstre que l’une de nos brimbales penche d’un coup sec et je me mets à courir vers celle-ci. Quand j’ai ferré, j’ai senti le fil étirer, comme un élastique. C’est là que je sors mon premier beau brochet de 11 livres. Plusieurs autres brochets entre 3 et 7 livres suivent dans la journée.

Ce fut une journée de folie. C’est ce jour-là que je suis devenu mordu, et c’est devenu une tradition de pêcher le brochet au mois de mars. On espère toujours capturer un autre monstre.

Bonne saison 2018 à tous !

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À mes débuts, les pêcheurs sur glace portaient des vêtements de chasse en laine ou des ensembles de motoneiges. Ils se chaussaient de bottes qu’on appelait à l’époque des «bottes de ski-doo». Encore aujourd’hui ce même type de chaussure est populaire avec une fabrication plus légère et plus chaude.

 Je divise les bottes en cinq grandes familles. La botte de chasse avec isolant intégré. La botte de caoutchouc isolé ou avec feutre. Le modèle de neige avec fabrication hybride base de caoutchouc avec haut en denier ou cuir avec chausson de feutre. Le bottillon avec isolant amovible et le couvre botte avec isolant intégré. Le choix du modèle est personnel. Pour ma part les facteurs de sélection sont;

La chaleur, lorsque vous pêcher une journée entière a des conditions météo difficiles et un mercure oscillant les -20 degrés vous devez avoir une botte qui vous garde les pieds au sec et au chaud.

La légèreté, la pêche sur glace demande beaucoup de déplacement surtout pour ceux et celles qui pêchent la perchaude. Donc, une botte légère demande moins d’effort a chaque pas.

Le chausson amovible,  il est important pour le séchage rapide et complet afin qu’il soit disponibles dans un court lapse de temps.

Et finalement le prix, lorsque vient le temps d’effectuer cet achat, il est très important d’évaluer la longévité possible du modèle, elle deviendra un facteur important du prix à payer.

Selon mes critères, il me reste un choix. Il me reste une botte de conception «hybride» Elle est offerte par tous les grands manufacturiers;  Sorel, Baffin, Kamik, très chaude avec des facteurs thermique avoisinant les -40 a -100 degrés. Elles sont légères avec un poids approximatif de cinq livres la paire. Les chaussons sont amovibles et ont peux s’en procurer pour la rechange.  Et finalement pour un prix qui varie $100 et $300.  

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St-Croix Mojo Ice, une saison plus tard.

J’ai eu comme plusieurs d’entre vous, la chance de pêcher l’hiver dernier avec une canne nouveau genre : la St-Croix Mojo Ice, qui offre un design novateur avec sa branche ouverte à l’intérieur de la poignée.

Il faut que je sois honnête avec vous, ce style m’a accroché dès les premiers regards. Mais je n’ai pas eu le coup de foudre au moment de mon premier essai sur la glace. Et voici pourquoi.

La prise en main demande un léger ajustement, surtout si vous n’utilisez pas la prise « en gâchette. » Cette technique permet au doigt de se déposer de façon naturelle sur la branche. Dans le cas d’une prise normale vous devrez déposer votre pouce sur la branche, afin de bien ressentir toutes les touches, si infimes soient-elles.

Quelques sorties m’ont été nécessaires afin d’apprivoiser la puissance et l’action de cette canne. Elle est constante et rapide. J’ai utilisé quatre puissances différentes pour constater l’uniformité de leurs constructions. Le ferrage est rapide et sans relâchement de la branche.

La construction précise de sa tige en fibre de carbone est sûrement le secret de cette uniformité. Après deux sorties j’étais vendu, complètement accro à cette canne.

Sa poignée en partie de liège et de EVA est parfaitement équilibrée. Les œillets en acier inoxydable sont légers et solides. Les cannes sont toutes fabriquées à la main.

Cette nouveauté de l’hiver 2017 est maintenant disponible dans toutes les bonnes boutiques de chasse et pêche.

Bon essai !

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L’achigan à petite bouche sous la glace
Tentez votre chance!
La plupart des pêcheurs ont livré bataille à au moins un achigan pendant leurs sorties estivales. Ce poisson agressif s’attaque à une multitude de leurres, dans diverses conditions. Il n’y a là rien d’étonnant, quand on sait que des tournois lui sont dédiés chaque année.
Mais que se passe-t-il quand l’eau se met à geler? On sait que l’achigan est beaucoup moins actif l’hiver et qu’il se nourrit moins.
On m’a souvent demandé si je continuais à le pêcher sur la glace. La réponse est oui. Tous les hivers, je taquine l’achigan 2 ou 3 fois, la plupart du temps entre 10 heures et 13 heures.
Pourquoi? Parce que je le cherche quand je vais pêcher les salmonidés, quand le soleil réchauffe la glace, vers midi. Quand c’est le cas, l’activité des achigans augmente.
Pour le localiser, concentrez SURTOUT vos efforts sur les zones comprises entre 35 et 55 pieds. Recherchez à priori les ilots de roches et les falaises escarpées.
Votre leurre doit être petit. Je conseille le Forage Minnow / Spoon de format petit à moyen, agrémenté d’un bout de ver ou d’asticot. C’est assez concluant. Vous pouvez aussi vous servir d’un tout petit « curly tail ». Bref, je ne vais pas vous faire une liste, c’est à vous de faire vos expériences et de voir avec quel leurre vous vous sentez le plus à l’aise.
Évitez les leurres trop lourds et volumineux. N’oubliez pas que le métabolisme de l’achigan est au ralenti.
Descendez votre leurre tout au fond, même si c’est long quand il ne pèse presque rien. Remontez-le doucement de quelques pieds en vous assurant de lui donner la bonne animation. Faites-le retomber vers le fond, et recommencez.
Vous serez largement avantagé si vous vous servez d’un sonar. Vous aurez l’occasion de voir le poisson et d’observer ses réactions.
Si ça ne fonctionne pas, ne vous acharnez pas trop longtemps. Changez de trou, de profondeur, de leurre…
Quand vous les avez trouvés, réjouissez-vous: il n’est pas rare d’en prendre plus d’un dans le même trou.
La remise à l’eau est beaucoup plus difficile qu’en été. Prenez votre temps, et faites preuve de respect pour ce beau poisson.

Vous allez adorer. Bonne prospection!

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J'ai croisé ce petit bonhomme sur la glace.  Il s'appelle Matéo Bourgoin-Vallée. Il pêche depuis l'âge de 4 ans.  Il fait ses premiers pas à la pêche sous glace et c’est un passionné. Il maîtrise bien le lancer léger, pêche à la mouche (Tenkara), mais désire toutefois se mettre à la pêche blanche.  Je lui ai donné un petit cours d'initiation au «flasher». Il a pêché quelque temps attirant même un poisson de bonne taille.  Bien que l'occasion de le ferrer ne c'est pas présentée, Matéo a fait une bonne partie du travail.  Alors qu'il était sur son départ à quelques dizaines de mètres, le signal d'une attaque imminente apparaît à nouveau sur le «Ice 45». Une fois le ferrage exécuté et un court combat, ce fut une surprise de voir ce brochet maillé de très belles tailles se présenter au trou. Ce poisson représente un record personnel pour cette espèce, mais le fait de l'avoir fait dans ce contexte revêt pour moi un caractère particulier. Merci Matéo pour ta contribution et André pour la photo. L'équipe Québec Ice Team te souhaite également Matéo bonne chance dans ta quête d'un premier saumon.

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Il y a des matins ou c’est plus difficile que d’autres et ce matin c’en est un.  La suggestion de Guy d’explorer un nouveau secteur ne nous déplaît pas, mais disons que depuis un certain temps, cette quête du Klondike ne nous a pas permis d’ajouter au calepin, des X intéressants.  Février n’est pourtant pas un mois de références, nous le savons bien, mais malgré tout, cet entêtement donnera un résultat intéressant.

C’est donc à cheval sur nos montures que nous nous dirigeons à cet endroit.  Guy a fait ses devoirs et ce spot répond à certains critères incontournables au niveau de la structure.  -19 degrés, mais on a vu pire. Le soleil fera bientôt membre honorable poussant le mercure à atteindre un niveau plus confortable.  La stratégie demeure sensiblement là même, couvrir le plus de terrain possible en jouant avec les profondeurs.  On ne se gêne pas pour frôler la rive poussant l’audace à étendre dans une colonne de 5 pieds.  Nous savons que ce genre de set up nous amènera à composer avec la présence d’espèces non ciblées, mais c’est un compromis incontournable.  Le salmonidé doit se nourrir et il peut très bien s’y aventurer.  Mon fils Zak et moi terminons l’installation de nos engins fixe variant la profondeur de nos offrandes selon nos profondeurs.  Quelques attaques de perchaudes plus tard, c’est un grand coup. Milieu de berge, 27 pieds de profond, éperlan mort à 15 pieds, BANG! Un combat prometteur qui se terminera par un hameçon ouvert…ce poisson représentait un espoir de voir enfin des efforts récompensés.  Dur sur l’ego d’un gars de 17 ans, mais aucune faute attribuable au pêcheur. Les hameçons que nous utilisons sont discrets, mais ont leur limite.  10 minutes s’écoulent. Un deuxième drapeau; 18 pieds profonds, offrande à 6 pieds.  Même réaction, un combat lourd.  Tout près du trou, on ressent une poussée d’adrénaline  à la vue de ces couleurs.  Une brune qui représente un record personnel, mais qui ne passe pas au trou; un cauchemar. L’idée d’une césarienne m’effleure l’esprit, mais les risques trop élevés…une longueur de bras détrempé plus tard et quelques éraflures à la main, la bête est mise sur la glace.  Mensuration :  29.5 pouces. 9 livres 47.  Cette aventure met un baume sur plusieurs sorties parfois infructueuses, mais suffit d’un seul poisson pour faire une saison.  Bravo fils!  

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 L’indésirable désiré

Depuis quelques années nous constatons l’augmentation de la présence du baret dans nos lacs préférés. Cette perchaude blanche comme plusieurs s’amuse à l’appeler ne fait pas partie de la famille des percidés. Elle est plutôt une proche parente du bar rayé. Son arrivée est inexpliqué si ce n’est que certain croient qu’ils sont été transportés  dans des chaudières d’appâts vivants et remis à l’eau après une journée de pêche.

Quoi qu’il en soit nous avons aujourd’hui à vivre avec sa présence. La réglementation provinciale l’identifie comme espèce indésirable ce qui lui confère des atouts particuliers, comme la limite de prise et de possession qui est a ‘’aucune limite’’. Pour ceux et celles qui n’auraient pas eu la chance de lui goûter, disons que sa chair ressemble beaucoup à celle de la perchaude, mais avec une chair un peu ferme.

Le baret se retrouve actuellement dans les grands lacs du Québec et de la nouvelle Angleterre. Le lac Champlain, le lac Memphrémagog et le petit lac Magog ne sont que des exemples d’où l’on peut trouver cette espèce. Comment le localiser et le pêcher? Rien de plus simple.

Au cours des dernières années, j’ai pu observer une augmentation de l’activité de leur chasse en fin de journée après 14h00. Pour identifier les secteurs propices à la pêche, il faut aussi localiser les zones où naviguent les perchaudes. Il est important de noter que le baret se nourrit de petites perchaudes, c’est pour cette raison qu’il est néfaste pour l’espèce indigène de nos eaux. Ceci m’amène aux types de leurres à utiliser. Les petits leurres de couleurs fire tiger, jaune, rouge ou argenté sont excellents.  Il faut ajouter un attrait souple et/ou odoriférant pour rendre plus attrayante votre présentation. Des asticots et vers de terre sont de beaux exemples afin d’optimiser le rendement de vos leurres. Le sonar de type flasher telle la série Ice de Humminbird est un outil indispensable afin d’analyser le comportement du poisson. Le cadran qui affiche les retours d’échos vous indique clairement l’humeur du baret face à la présentation de votre offrande.

Votre succès sera lié directement avec votre prospection de la zone ciblée. N’hésitez pas à percer des trous aux 20 pieds, car le baret ne se déplace pas beaucoup. La présentation du leurre est simple. Laissez votre leurre se déposer sur le substrat. Attendez quelques secondes avant de remonter de quelques pouces. Si votre sonar affiche une présence, remontez doucement votre leurre au-dessus des échos de poissons. Agitez votre leurre doucement pendant 5 a 10 secondes et faites une pause.  La canne utilisée de puissance moyenne-légère vous donnera la souplesse requise pour ressentir l’attaque et une branche assez rigide pour un solide ferrage. L’attaque de ce poisson est différente de la perchaude, tantôt il attaque brutalement, mais dans la  majorité des cas il aspire le leurre comme le fait l’achigan. Pour résumer, lorsque vous ‘’jigger’’ lentement vous constaterez que votre bout de canne ne bouge plus. C’est le temps de ferrer.

Amusez-vous bien, et dégustez cet indésirable désiré.

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Rendement optimal du leurre.

Quand le moment est venu de choisir un leurre adapté à la pêche sous glace et qui cible une espèce en particulier il faut tenir compte du ROL. En saison d’eaux libres, cet aspect du leurre prend une importance moindre, car la technique utilisée est variée. À la traîne, au lancer, a la dandinette ce qui permet un déplacement et une récupération adaptée aux conditions.

Qu’est-ce que le ROL? Ce n’est pas une expression que l’on ne retrouve de toute évidence pas dans le grand livre de la pêche, mais bon nombre de pêcheurs en tiennent compte malgré eux. Le ‘’Rendement optimal du leurre’’ est le mouvement que le leurre offre par sa conception à une profondeur et une vitesse donnée. Et de quelle façon ce principe nous affecte-t-il à la pêche blanche?

Et bien c’est simple. Il faut prendre pour exemple un leurre que j’affectionne tout particulièrement le poisson-nageur avec bavette arrière connue sous les noms commerciaux de; jigging rap, puppet minnows, jigging shad rap, turn back shad de freedom tackle. Ces petits devons sont conçus pour nager à la verticale, donc susceptibles d’être efficace sous la glace. Il doit être remonté d’un trait dans la colonne d’eau et relâcher lentement et toujours sentir sa présence au bout de sa canne. Il partira en vol plané à de belles distances de votre trou en parcourant jusqu'à des dizaines de pieds couvrant ainsi une superficie significative. Son rendement optimal sera alors considéré comme un devon à action vertical pour la pêche a la dandinette agressive et de recherche. Un autre exemple, les bibittes, la conception de ce leurre se veulent une imitation de crevette d’eau douce ou de moustique aquatique, mais qu’en est-il de son ROL? Il est évident que vous ne couvrirez pas une grande superficie sous l’eau, mais ce leurre n’est pas conçu pour ça. La crevette ou l’insecte subaquatique nage lentement par petits coups saccadés, le leurre sera donc présenté rampant les fonds avec de petits coups du bout de la branche de votre canne.

Vous comprendrez maintenant pourquoi il faut adapter le choix de nos leurres en fonction de l’attirance du prédateur, mais aussi de son rendement optimal. 

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Brochet : Le choix d’un bon montage.

Bien que je ne pêche pas le brochet sur une base régulière, j’y consacre quand même quelques jours par saison histoire de conserver un lien avec mon attirail traditionnel. Avec les saisons, nous cumulons plusieurs belles prises au-delà des 15 livres, et ce dans des lacs ou la pression de pêche est constante. Ces résultats sont liés directement à une prospection adéquate bien sûr, mais également à un montage que j’affectionne tout particulièrement. Il s’agit du montage (en V) à doubles cuillères et trépieds. Mon choix s’arrête sur le Big Tooth Fluoro rig de la compagnie Clam. Sa confection a guidé mon choix puisque le fait que le fluorocarbone n’a pas de mémoire ou très peu comparativement à l’acier, il en résulte un choix hautement économique. De plus, le fluorocarbone a la propriété de laisser passer la lumière au lieu de la réfléchir. Comme je présente souvent mes appâts très près de la glace donc très près de la lumière, c’est un aspect non négligeable. Pour sa capacité d’en prendre, ce montage n’en est pas moins diminué. Avec un 100 livres de résistance, aucune inquiétude. Trois choix de couleurs holographiques au niveau des cuillères, 2 grosseurs de trépieds de qualité (2 & 1/0). J’y accroche le plus gros éperlan de mer possible (mort) rarement en bas de 6 pouces. J’en trouve soit à la poissonnerie, soit chez un boucher. Ça peut sembler extrême, mais croyez-moi, il n’en est rien quand vient le temps de cibler les gros spécimens. Un dernier point; prudence dans la manipulation de votre prise lorsque cette dernière est accrochée à ce genre de montagne. La cueillette à main nue est déconseillée. Préconisez un fish gripper ou à la limite une gaffe si l’épaisseur de glace est trop importante. La blessure occasionnée au poisson demeure minime si la manœuvre est bien exécutée contrairement à celle que vous pouvez vous infliger si vous partagez l’efficacité de ce montage avec votre capture.

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 La canne a jigger; l’UPPERCUT de la pêche à la brimbale.

Bien que la pêche soit une activité existant depuis des millénaires, elle ne cesse d’évoluer; autant sur le plan technologique que sur le plan social.  La venue de nouveaux équipements contribue largement à ce changement de portrait.  Les sonars, les cannes, les leurres et bien entendu les vêtements font que de nouveaux horizons sont à explorer.  Ceci m’amène à vous raconter une anecdote vécue récemment.  J’adore de temps à autre faire un pas en arrière et pêcher avec mes brimbales traditionnelles.  Nous étions installés, mon fils et moi, aux brochets dans une de nos baies favorites pour cette espèce.  Plus la journée avançait, plus il était évident qu’un secteur était plus fréquenté que les autres au point où notre attention s’est dirigé uniquement sur l’une des brimbales.  Après deux attaques manquées, nous étions piqués au vif.  Nous avions affaire à un fin renard.  Cette année, nous avons eu l’opportunité de mettre la main sur d’excellent leurre et la situation se prêtait à en utiliser un en particulier.  J‘ai donc sortie ma canne a jigger (Heavy)  bien décider de mettre fin aux frasques de notre adversaire. 

J’y ai fixé un devon Yo-Zuri  (3DB 3D prism/wave motion vibes) plongeant.  Nous avons retiré la brimbale et mon fils a laissé le leurre descendre dans cette colonne d’eau d’au plus  5 pieds.  Un léger mouvement de haut en bas afin que les billes du leurre fassent  leur effets  et ce fut l’attaque.  Un beau combat s’est engagé.  Malheureusement,  le mono filament à céder à la tension mais malgré cette conclusion, nous savons maintenant qu’il y a une option à cette situation. Elle s’est d’ailleurs reproduite lors de la quête de salmonidés et que des perchaudes ont eu la mauvaise idée de faire lever un drapeau à répétition.  En peu de temps le problème fut régler et mis sur la glace  L’installation statique fut remise en place et  en fonction pour l’espèce souhaitée.  Ajoutez la canne à jigger à votre  arsenal et  n’hésitez  à vous en servir si la situation le requière.  

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Évitez de percer à l’aveuglette

Percer des trous sur la glace n’est pas le fruit d’un hasard quelconque. Pour la majorité des pêcheurs, ils   localisent les zones de perçage à l’aide de leurs expériences passées. Certains d’entre eux pêchent des secteurs depuis des dizaines d’années. Mais, pourquoi ses localisations sont bonnes et leur donnent la peine de se représenter fois après fois.

La vérité, c’est qu’ils sont situés sur des plateaux, sur des pentes abruptes, sur des hauts fonds ou près des herbiers. Est-ce que ses pêcheurs sous glace ont plus de flair que d’autres? Bien entendu que non. Ils ont soit été amener par des amis pêcheurs, identifier le secteur en période estivale ou analysé les cartes bathymétriques pour en déceler des particularités propres à l’espèce convoitée.  

Maintenant, donnons-nous une chance  de réussir. Des gens appelleront ceci du repérage, du scouting ou tout simplement de la préparation. Cette technique vous donnera la chance de possiblement découvrir des zones à haut potentiel que vous ne soupçonniez pas sur le plan d’eau ou vous pratiquez votre activité.carte de lac sélectionnée

Il y a des outils nécessaires et indispensables à cette méthode afin de réussir du début à la fin. Un ordinateur, que ce soit de bureau, portable ou téléphone intelligent. Une carte bathymétrique papier pourrait faire l’affaire, mais demandera un plus grand nombre de trous à percer avant d’atteindre des points précis. Un GPS, qu’il soit incorporé à votre cellulaire, à votre sonar ou un GPS portatif sera l’outil de transfert de données entre la localisation bathymétrique et l’indication sur la glace des coordonnées de géolocalisation.

Il faut avoir en tête certaines données 
sélectionner les secteurs à potentielsessentielles à la réussite de votre travail. Le 
plan d’eau sur lequel vous désirez pêcher. Est-ce un lac, une rivière, un réservoir ou un fleuve? L’espèce visée, cette information permettra de cibler les secteurs sur votre carte en fonction des profondeurs de nage, de repos ou de chasse de votre poisson. ‘’Scoutez’’ en fonction de la période de pêche,  à quel moment en saison, à quel moment dans la journée. Et la technique de pêche utilisée à la dandinette ou à la ligne dormante (brimbales de toutes sortes).

Vous avez maintenant tout ce qu’il faut pour identifier positivement des secteurs à hautszone d'exploitation potentiels. Débutons notre activité de recherches. Afin de bien comprendre le cheminement du processus,  je mets en images des exemples. J’utilise à l’origine sur le web une page dont la consultation est gratuite.  webapp.navionics.com  avec cette application que vous pouvez utiliser sur ordinateur, tablette ou téléphone intelligent vous visualiseront les cartes bathymétriques de la grande majorité des plans d’eaux en Amérique du nord et plus encore.  Pour l’exemple nous utiliserons le lac Seymour au point de perçage Vermont. Nous rechercherons des secteurs propices pour la truite grise en début de saison.  Pour ce faire nous savons que le touladi en hiver nage et chasse dans différentes profondeurs, mais dans des colonnes d’eau entre 50 et 75 pieds.  Nous chercherons aussi sur la carte des lignes de profondeur qui sont près les unes des autres, ceci indique une pente abrupte. Les pointes qui se fondent vers le large avec une structure abrupte sont aussi  à noter. Les îlots sous-marins, aussi appelés haut-fond sont de très bon secteur d’embuscade pour les prédateurs. Les salmonidés se nourrissent tôt et tard, la grise n’en fait pas exception, donc nous ciblerons les mêmes zones identifiées préalablement, mais en présentant nos offrandes à des profondeurs du ¼ de la colonne à la demie. Ce qui veut dire, pour la zone avec une colonne d’eau de 60 pieds, je descendrais mon appât à 15 pieds jusqu’à 30 pieds sous la glace.

L’application webap offre un outil très intéressant lorsque vous cherchez les zones dont la profondeur est spécifique à votre recherche.

-Au centre bas de votre carte activez la touche menu

-Dans le menu qui apparaît à gauche, descendre jusqu’à ‘’Réglage’’ et sélectionnez-le

-sélectionnez ‘’Réglages carto’’

-à l’aide du gradateur, glissez le bouton jusqu’à la profondeur de sécurité indique celledescription du point de perçage ciblé rechercher a ce moment vous verrez apparaître en bleu sur la carte toutes les zones de  ayant la profondeur recherchée et moins.

L’application a une limitation, soit de ne pas donner les coordonnées gps des zones identifiées. Toutefois, lorsque vous vous procurez l’application pour tablette ou téléphone intelligent sur App Store ou Google Play, celle-ci gardera en note le ou les points que vous aurez identifiés avec les informations que vous aurez ajoutées.  (Cette appli est peu coûteuse et inclut toutes les mises à jour pour une année entière).

Une fois ces secteurs localisés, et que vos points de perçage sont identifiés, il ne vous reste qu’à vous rendre sur place et de suivre les indications de votre cellulaire ou tablette.

Cet exercice est tout aussi bon pour toutes les espèces de poissons, il ne suffit que d’ajuster les paramètres.

archives 2018

 Le monde des moulinets à première vue semble celui qui n’a pas tellement évolué au fil des dernières années. Il est tout même vrai de dire que dans chaque style il y a des petites améliorations, pas toujours apparentes, mais qui affectent la performance.

Je regarde aujourd’hui un moulinet que me servira à la fois pour la saison en eaux libres que la période sur la glace. Les qualités recherchées sont les suivantes; légèreté, format, rapidité et douceur. Un barillet de calibre 10 ou 15 selon les compagnies est un choix pour moi idéale. Donc, suite à des discussions avec des proches et mon frère ainsi que des recherches sur le web, je m’arrête sur le Pflueger President XT.

Je suis un pêcheur intéressé à un produit de qualité sans avoir à dépenser une fortune. Je suis de ceux qui croient aux produits bien faits, performants et quand même abordables. Ce moulinet présente des composantes de haute qualité qui lui donnent légèreté et performance.

Les 10 roulements à billes lui donnent sa fluidité. Son axe principal et ses engrenages sont

fabriqués d’aluminium, son baril est profond ce qui lui permet beaucoup d’espace pour embobiner du fil tressé. Sa poignée de belle dimension est fabriquée de liège caoutchouté lui conférant une bonne prise. La tige est de fibre de Carbonne Est belle et légère.  Dans l’ensemble son apparence est épurée, mais bien découpée avec sa couleur contrastante de son baril.

Sur le terrain, ce moulinet qui se vend à moins de $99 se compare aux comportements à ceux de plus de $150. Je l’ai utilisé du mois de juin à novembre et son comportement est sans reproche. En période estivale, les points importants à noter sont; sa légèreté, sa douceur de roulement sa poignée juste assez poreuse pour une prise maximale. Dès la fin septembre, on constate que le rendement de ce moulinet pourra satisfaire mes besoins pour la période hivernale. J’ai pêché jusqu’à la mi-novembre et malgré les -9 degrés son roulement demeure sans reproche.

Je conclus que cet achat rencontre mes normes de rentabilité. Qualité, performance, et prix sont au rendez-vous. Je vous suggère le Pflueger Président XT sans hésitation.

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La nouvelle série Croix Custom Ice de St-Croix,  ouf!

Les sportifs ne cessent de repousser les limites de leur discipline au point ou notre réflexion est de se demander, mais quand l’homme va-t-il s’arrêter?

Et bien les dirigeants et ingénieurs de la compagnie St-Croix n’ont pas, de toute évidence,  l’intention de s’arrêter.  De concert avec un groupe de pêcheurs de haut niveau, ils ont développé une gamme de cannes à pêche sur glace spécialement adaptée aux techniques spécifiques de pêche pratiquées par les pros.  Que ce soit pour le poisson de type panfish jusqu’au plus costaud comme le brochet monstre, chacune des cannes a été développée avec un souci du détail impressionnant.  La longueur, la flexibilité, les matériaux utilisés rien n’a été laissé au hasard.  Les ingénieurs ont écouté religieusement les commentaires et observations de leurs pêcheurs et les résultats sont à première vue très prometteurs.  La compagnie veut demeurer en tête du peloton et l’utilisation de matériaux de première qualité et un montage sans reproche font de St-Croix un produit très prisé.  Tout cela a un prix bien entendu, mais avoir une canne St-Croix en main, c’est en serré les 32 paires qui ont participé au produit final de ce que vous utilisé. Une gamme aussi complète de cannes dans le domaine de la pêche blanche représente en soi une évolution dont nous avons le grand privilège d’en être les  témoins.  J’aurai l’honneur d’utiliser cet hiver la ``Deep spoon`` et la ``Search bait`` dans le 32 pouces et je prédis que j’en tomberai profondément amoureux.

Il me fera un grand plaisir de vous donner mes impressions après quelques premières sorties!

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Perchaude, la tigresse de nos eaux

Faites-vous plaisir et payez-vous une sortie à la perchaude. Cette petite tigresse de nos eaux nous offre de beaux combats et un repas des plus savoureux. Voyons ensemble comment cibler et prendre cette petite manne.

À la base, cette espèce se retrouve dans presque tous les plans d’eau du Québec. Leurs tailles varient selon leurs habitats et la qualité et la quantité de nourriture qui s’y retrouve. Pour la cibler il existe deux façons rapides de faire. Commencez par observer les attroupements de pêcheurs de perchaudes, ou préparez plutôt votre sortie chez vous, au chaud. J’utilise l’application Navionics sur mon téléphone intelligent, et avec ses multiples options, c’est beaucoup plus facile. Vous pouvez par exemple identifier avec de forts contrastes la colonne d’eau que vous désirez cibler. Si je souhaite voir en bleu foncé tout ce qui fait moins de vingt pieds de profondeur, je me déplace sur la glace à l’endroit indiqué par ma carte sans avoir à percer de nombreux trous. Les cartes bathymétriques sont relativement précises, mais rien ne remplace un sonar ou une sonde.

Dès que les premières touches se produisent, percez différents trous sur la structure que vous avez identifiée. Ils doivent être placés à une vingtaine de pieds les uns des autres. Avant de changer de trou, essayez à différentes profondeurs, car même si la perchaude aime rester près du fond, il arrive qu’elle se retrouve quelques temps en suspension lors de ses déplacements.

Un sonar de pêche sur glace aide énormément à les trouver, mais l’instinct du bon pêcheur reste un atout. Une canne de puissance légère ou ultralégère est de mise, alliée à un moulinet de petit gabarit pour ne pas déséquilibrer votre ensemble. Un mono filament ou du fluorocarbone de petit diamètre est requis afin de bien ressentir les touches et de présenter l’appât en finesse.

En ce qui concerne les leurres, servez-vous de plusieurs leurres différents, tant qu’ils sont de très petite taille. Avec l’expérience des dernières années, je vous dirais que le ‘’firetiger’’ prend une grande place dans mon coffre, suivi de l’argent, du rouge et de la Chartreuse.

La larve agrémentée d’asticots ou d’un bout de ver est très efficace. La petite cuillère, et les leurres à action verticale sont efficaces pour le repérage. Les devons de petit format qui possèdent une cage de résonnance attirent la perchaude de loin. Les images qui accompagnent la chronique affichent bien la variété de leurres qui peuvent servir à prendre de la perchaude. Plusieurs facteurs influencent le choix du leurre et sa couleur, comme la teinte de l’eau et la profondeur de la colonne. Plus elle est foncée, plus la couleur du leurre doit aussi l’être, et tendre vers le noir.

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